Diète Paléo : Les Erreurs A Ne Pas Commettre

Un régime paléolithique comprend 20% à 40% de glucides, 20% à 35% de protéines et 30% à 45% de lipides. Ces apports caloriques peuvent être apportés par : les viandes maigres, les volailles, les poissons et fruits de mer, les œufs, les fruits et légumes, les noix et les fruits à coques.

Certains aliments et boissons tels qu’huiles pressées à froid, thé, café, boissons alcoolisées, fruits doivent être consommés avec modération.

Les viandes grasses, les sucres raffinés (sucre, biscuits industriels,…), les produits céréaliers (avoine, seigle, épeautre..) et les produits laitiers, les boissons gazeuses et les produits en conserve doivent être supprimés de la liste des aliments à consommer.

Faire un excès avec la viande : le but du régime paléo n’est pas de manger de la viande excessivement. Il est important de savoir manger avec modération, même les aliments autorisés durant le programme. Aussi, il faut choisir des aliments bios, et de qualité. IL faut veiller à la provenance des aliments, et surtout privilégier les viandes issues d’animaux élevés en liberté, n’ayant subis aucun traitement chimique ou hormonal.

Supprimer les lipides du régime alimentaire : tous les nutriments sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Les lipides sont d’ailleurs nécessaires pour le bon fonctionnement hormonal et du cerveau. De ce fait, ils ne doivent pas être supprimés définitivement du régime paléo. Le mieux à faire, c’est de bien les doser et ne consommer que le ratio préconisé par les diététiciens.

Ne pas manger de légumes et de poissons : beaucoup de gens pensent que durant le régime paléo, on ne mange que de la viande, tel que nos ancêtres l’ont fait durant l’ère paléolithique. Ce qui est totalement faux. Durant  l’époque paléolithique, les hommes vivaient de la chasse et de la cueillette. Ce qui veut dire que les fruits et les légumes faisaient partie intégrante du régime alimentaire à cette époque. Tout comme les poissons d’ailleurs, qui apportent les huiles insaturées indispensables au bon fonctionnement du cerveau.

Dire non aux acides gras : tout comme les lipides, les acides gras sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Ils permettent de prévenir certaines maladies et jouent un rôle anti inflammatoire naturel. Les bonnes graisses interviennent dans le développement du cerveau et de la circulation sanguine pour prévenir les tensions artérielles. On ne peut les obtenir que via notre alimentation. De ce fait, il est conseillé de ne pas les éradiquer du régime alimentaire.