L’Efficacité Sportive Et Le Stress
Le stress est très courant à notre époque, c’est le nouveau mal du siècle. Pourtant celui-ci jour un rôle essentiel dans la performance, que ce soit au travail ou lors d’une performance sportive. On vous explique tout sur cette émotion.
Le stress est-il un allié pour être performant en sport ?
La plupart du temps, le stress est considéré comme un élément perturbateur de la vie quotidienne. On entend souvent des gens dire que la cause de leur problème, c’est le stress. C’est une perception erronée de l’homme. Car, que ce soit dans la vie quotidienne ou dans la vie sportive, il peut être un excellent allié.
Le stress permet de s’adapter aux contraintes qui s’opposent à la vie. Cela se passe du côté de l’organisme qui va lui s’habituer à la pression. Tout sera concerné, le domaine sportif l’est aussi. Ces différents types de stress peuvent être caractérisés dans le stress psychologique et le stress physiologique.
Également, une hormone appelée cortisol permet de réguler l’énergie, très utile pour le sport.
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Comment contrôler le stress ?
Il faut comprendre le fonctionnement de la sérotonine pour pouvoir contrôler le stress. Cette hormone, qualifié d’hormone du bien-être est présente dans l’organisme en qualité d’autacoïde. Il est présent dans tout le corps dont une partie de 1 % est représentée dans le cerveau. C’est un agent fondamental dans le cerveau et a même des enjeux vitaux. En ayant les commandes au cerveau, elle fait des actes de gestion de l’humeur et ramène la sensation de bonheur. Cette sensation a une condition : la sérotonine doit avoir un taux équilibré dans le corps. Avec ce taux, il influe sur l’émotion et réduit les actions de prise de risque d’un individu. L’individu en question se mettra dans une situation qui lui inspirera confiance. Cela a donc un impact sur le stress, car il va le réduire. Il est aussi un énergisant naturel, car en même temps il peut augmenter la motricité issue du zèle d’une personne. Tout cela est régi dans l’humeur.
Comment obtenir ce taux d’équilibre ? C’est en pratiquant de temps en temps du sport. Un phénomène qui fera réagir les muscles permettra de produire la sérotonine en quantité équilibrée. Effectivement, l’humeur positive sera présente, le zèle restera et la sensation de bien-être aussi. La réorganisation de l’hormone dans le corps permettra une bonne gestion de l’énergie et stimulera une énergie positive de longue durée. Cela présente, même plusieurs heures après l’activité physique.
Le stress un allie, mais nuisible quand il est fréquent
Il faut comprendre que le stress est une réaction normale de l’organisme. Quand une personne se sent attaquée ou est en face du danger, l’organisme va lutter. C’est-à-dire que toutes les hormones vont réagir pour contrer le stress.
Le stress peut être alarmant au début. À cette phase l’organisme se prépare à contrer une attaque de courte durée.
Par la suite, il y a la résistance. Le corps va réorganiser son énergie pour lutter au maximum et s’adapter au stress.
Et, il y a l’épuisement, où le corps a épuisé toutes ses ressources, il va lâcher. Le système immunitaire sera alors attaqué. D’où les maladies cardio-vasculaires, migraineuses.
Si le stress est chronique, la dernière phase sera atteinte. Dans le cas, d’un sportif cela peut réduire sa performance et sa maîtrise du domaine.
Une fois arrivé à la dernière phase, il y aura un chamboulement dans le corps humain et favorisera l’entrée d’un type de stress, c’est le stress oxydatif ou radicalaire. Effectivement, ce sera une réaction naturelle utile au corps humain, mais s’il y en a trop il deviendra nocif.
Que signifie stress oxydatif ?
Il ne faut pas confondre stress psychologique et stress oxydatif. Dans le cas du stress oxydatif, il y a un excès d’oxydant. C’est une attaque des radicaux libres, des substances produites par l’oxygène dans les cellules sur les cellules. Il est causé par un déséquilibre des radicaux libres dû au tabagisme, l’alcool, inflammation.
La bonne alimentation à adopter
Chaque aliment idéal se rapporte à la fonction du stress.
Le stress oxydatif peut être causé par l’inflammation (issue d’une maladie). Les aliments riches en oméga 3 en vitamine B et magnésium sont fortement conseillés tels que le saumon, les œufs. Ils permettent une stabilité dans la contraction des nerfs.
Pour favoriser la sécrétion de dopamine (hormone du bonheur) et la sérotonine il faut consommer des aliments riches en protéines.
Les aliments essentiellement constitués d’antioxydant et prébiotiques sont nécessaires pour contrer le stress oxydatif. On peut distinguer les vitamines A, E, C, le manganèse.
Certaines plantes permettent de s’adapter aux pressions telles que le maca, gingeng.
Préserver le calme, la méditation
Pour un sportif, reprendre confiance en soi est nécessaire. Dans de grandes compétitions par exemple, le stress va augmenter. Le corps va réagir positivement et contrer cette peur. Mis à part cela, il sera quand même nécessaire de se concentrer et construire soi-même son atmosphère de paix, de calme. À ce moment-là, pour reprendre confiance, il faudra imaginer la réussite qui sera déjà établie. La sensation de bien-être dans la perception d’une technique déjà réussie rassurera le sportif. Cette phase est raccordée à la deuxième phase du stress, celle de la résistance. Le corps va alors réorganiser la fonction de chaque hormone et gérera l’énergie conservée dans le corps. Cette phase d’adaptation et la méditation sont le meilleur moyen de contrôler cette phase.
Chaque personne à sa manière de combattre le stress. Certains se décident de le combattre, lors de la phase de résistance et certains décident de fuir. Fuir est aussi une forme de combat. Certes, la méditation et la prise de confiance en soi sont une manière de se battre pour gagner. Une remontée de force est bien possible, si le sportif sait gérer cette phase.
Le rôle de la respiration
La respiration a un impact important dans la gestion du stress. La respiration dite abdominale consiste à régulariser le souffle et rend l’organisme moins vulnérable aux événements extérieurs. Cette action se fait en ayant une position allongée, en respirant par le nez pour gonfler le ventre. La bouche restante fermée, la respiration retenue repartira par une expiration lente. Cette action doit être répétée.
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