De nombreux types d’acides gras existent. Appelé également Oméga 3 et Oméga 6, l’organisme a besoin des acides gras polyinsaturés. C’est pourquoi ils doivent être réguliers dans les nourritures. Depuis 2011, leur effet sur l’organisme prévient la maladie cardiovasculaire. Ainsi, les spécialistes scientifiques ont réévalué la situation en conseillant aux gens d’avoir plus d’apports en acide gras polyinsaturé.
Il s’agit d’un constituant majeur de diverses classes de lipides de l’organisme tels que le phospholipide et le triglycéride. Dans les nourritures, les acides gras polyinsaturés se présentent sous forme de triglycérides et de molécules groupant toutes 3 acides et 1 glycérol. Ils se différencient par le nombre d’atomes de carbone qui les composent ainsi que le type de liaison présente entre eux. Ce dernier peut être double ou encore simple. Seulement, les acides gras polyinsaturés contiennent au minimum 2 doubles liaisons.
Encore une fois, ces acides gras polyinsaturés se présentent en deux grandes familles. L’Omega 6 est caractérisé par l’acide arachidonique et l’acide linoléique. Tandis que l’Omega 3 est constitué par de l’acide docosahexaénoïque ou DHA, de l’acide alpha linoléique ou ALA et de l’acide eicosapentaénoïque ou EPA. Ces acides gras sont importants pour l’organisme. Ils participent au développement et au fonctionnement du corps humain. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de les disposer dans les aliments.
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Les acides gras polyinsaturés constituent les membranes de toutes les cellules de l’organisme sous forme de phospholipides. C’est pour cela que le DHA est nombreux au niveau des photorécepteurs c’est-à-dire la membrane cellulaire de la rétine. Puis, certains acides gras polyinsaturés se transforment par le biais de l’organisme en différents composes comme le thromboxane, le leucotriène et la prostaglandine. Cette transformation permettra de moduler diverses fonctions telles que la reproduction, la croissance, l’agrégation plaquettaire et l’activité du système immunitaire ou des neurones. En dehors de cela, les acides gras polyinsaturés jouent un rôle de régularisation sur les gènes, plus précisément à ceux qui sont engagés dans le métabolisme des lipides. Ils peuvent même être servis sous forme de carburant pour procurer de l’énergie.
Comme tout autre type d’acide gras, celui d’acide gras polyinsaturé a effectivement des conséquences préventives pour de nombreuses maladies.
Pour les cas des acides gras polyinsaturés, ils se trouvent bien évidemment dans les aliments riches en matière grasse. L’acide linoléique, composant de ces acides gras polyinsaturés est trouvable dans les nourritures d’origine végétale. Il est abondant dans de diverses huiles, des fruits à coque et des graines oléagineuses. Les produits industriels contenant de l’huile de tournesol en constituent aussi, à savoir la margarine, le plat cuisiné, la mayonnaise ou la sauce vinaigrette et les chips.
Puisque l’acide gras polyinsaturé dispose aussi de l’ALA, celui-ci est encore d’origine végétale. Il se trouve dans les graines, les fruits à coque, dans certaines huiles, dans des fruits et légumes. Les chairs d’animaux herbivores comme le lapin en contiennent également. Les produits laitiers, les œufs, les viandes ainsi que les charcuteries sont constituées aussi de l’acide gras polyinsaturé.
En ce qui concerne l’EPA et le DHA, ceux-ci sont trouvables plus précisément dans les fruits de mer comme les poissons gras. Le foie de morue en conserve contient plus de teneur en acide gras polyinsaturé. Il comporte 4060 mg de DHA et 3080 d’EPA.
Depuis 2011, les spécialistes de santé ont constaté que l’organisme a besoin d’apports en acides gras polyinsaturés. Pour les enfants de 6 mois à 3 ans, il faut contenir dans le corps 3 g de LA soit 2,7 % d’apport énergétique, 0,5 g d’ALA soit 0,45 % d’apport énergétique, 70 mg de DHA et maximum 70 mg d’EPA. Pour les petits âgés de plus de 3 ans, il est indispensable de privilégier 4 % d’apport énergétique c’est-à-dire 6,7 g de LA, 1,7 g d’ALA soit 1 % d’apport énergétique, de 125 mg de DHA et 125 mg d’EPA. Enfin, pour les femmes enceintes, les ados et les adultes, il est préférable d’avoir 4 % ou 8,8 g de LA, de 1 % ou 2,2 g d’ALA, de 250 mg de DHA et de 250 mg d’EPA.
D’après la recommandation de l’ANSES, il est indispensable de consommer quotidiennement 2 à 3 cuillères à soupe d’huile enrichies en ALA ou encore manger 2 portions de poisson par semaine. Il est possible aussi que ces apports s’améliorent suivant le choix convenable des corps gras et la prise habituelle des fruits de mer et des poissons.
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