Quelle Relation Existe-t-il Entre le Handicap et l’Entraînement Sportif ?
Le handicap s’agit d’une mauvaise marche d’une partie du corps. Il existe deux types de handicaps à savoir le handicap mental et le handicap physique. Ce dernier se distingue par deux sous-catégories : le handicap sensoriel et le handicap moteur. Les troubles de la vue comme le non voyant et le malvoyant ainsi que les troubles d’audition comme les sourds et les malentendants sont principalement des handicaps sensoriels.
Le handicap physique provient d’un état :
− traumatique, c’est-à-dire tétraplégique, paraplégique et hémiplégique
− infectieuse comme malvoyante et l’infirme moteur cérébral
− congénitale du genre poliomyélite
Tandis que le handicap mental s’agit d’un handicap provoquant des troubles cognitifs relationnels. Mais peu importe le type de handicap, ils apportent toujours des graves conséquences au niveau :
− physiques, à savoir la difficulté de déplacer et de travailler
− sociales., ils deviennent par exemple une charge de la famille
− psychologiques, c’est-à-dire les manières que le handicap assume sa situation
C’est pourquoi, les jeunes handicapés à la suite de l’adolescence deviennent généralement la charge de la famille. Certains demeurent même improductifs et sont transférés dans un établissement spécialisé. En quelque sorte, l’invalidité d’une personne au regard des autres est honteuse et sévère. Certaines personnes rejettent les personnes invalides et les mettent même dans une habitation particulière. Mais malgré cela, la société leur donne une place en institution.
Alors quels liens avec la pratique d’une activité physique ? A qui peut s’adresser la musculation ?
C’est quoi exactement le handicap physique ?
D’après les informations citées ci-dessus, les personnes invalides se trouvent en effet dans une situation difficile. C’est la raison pour laquelle, ils doivent être forts face aux nombreux prédits et les problèmes d’entourage. Dans cette circonstance, il est nécessaire pour eux de pratiquer un sport. Cela permet d’avoir des bienfaisances et d’effacer ce genre de difficultés. Grâce à une activité sportive, les épaules deviennent musclées. Ainsi, elles peuvent mieux se bouger en fauteuil roulant ou avec des cannes anglaises.
L’entrainement permet de se rendre plus performant au quotidien notamment dans la vie professionnelle. Étant donné le fait de mener à une sédentarité excessive, cet entrainement sportif est une meilleure solution pour lutter contre les infractions de cette sédentarité. Il entraîne directement des actions, par exemple dans les appareils intestinaux et urinaires. L’entrainement apporte également des bienfaits psychiques. La plupart du temps, les sportifs ont une bonne image d’eux-mêmes et une estime de soi élevée. La pratique de sports permet à une personne de se montrer aux autres. Elle va la rendre nettement valorisée envers l’autrui.
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Le handicap mental, que faut-il savoir ?
Le handicap mental est entre autres une maladie que peu de personnes étudient. Cependant, les manques provenant par le syndrome sont particulièrement des déficits à l’adaptation générale. De nombreux problèmes se posent tels que le mal fonctionnement intellectuel, la faculté d’attention limitée, etc. Ainsi, il est important surtout pour les enfants autistes, de pratiquer un sport, pour éviter les problèmes attendus comme les défauts de correspondance et d’intégration sociale. Ces dysfonctionnements se compensent par un exercice physique.
Les personnes handicapées, quel apprentissage doivent-elles choisir ?
L’apprentissage se distingue par plusieurs formes : l’apprentissage explicite, l’apprentissage implicite et l’imitation. Les contacts avec les autres personnes telles que les activités duelles sont des meilleures perceptions pour les invalides. Ceux-ci leur permettent de découvrir leur existence envers les autres. Pour les enfants autistes, il est difficile pour eux de comprendre les règlements du jeu. Le seul moyen privilégié est l’activité sportive.
Cette dernière permet d’apprendre les domaines sensori-moteurs c’est-à-dire une activité musculaire sous différentes formes et pensées. Seulement, l’accès des autistes est encore borné à cause des moyens financiers, d’étude et d’équipement. C’est pour cela que les organismes comme les APS incitent les gens atteints d’autisme à apprendre des perspectives importantes. Leur attribution c’est d’offrir à ces personnes une estime de soi et de plaisir. En participant à une activité commune avec d’autres enfants, les enfants autistes se sentiront plus valorisants.
Pourquoi les personnes invalides doivent-elles faire du sport ?
La pratique du sport pour les handicapés permet de se développer comme les personnes valides dans le domaine du sport. Elle permet de les rendre plus autonomes, car ils désirent à la suite de montrer à la société qu’ils sont courageux et pourvus d’exploits et d’efforts. D’ailleurs, les APS spécifient les invalides que ce soit au niveau de la santé, de l’autonomie ou de la pratique de la solidarité.
Au point de vue mental, le sport apporte aux handicapés une approche assurée, stimulante et encourageante. C’est pour cette raison que les éducateurs sportifs valorisent le pratiquant par le développement des motivations. Tandis qu’au point de vue physique, ils aménagent les tâches selon la capacité de participer à une compétition officielle. Dans cette circonstance, le pratiquant invalide doit apprendre non seulement à savoir tous les recours moteurs, mais également à les déployer. Il doit s’adapter aux diverses formes de pratiques : en fauteuil ou debout. L’aménagement adapté aux possibilités de chaque handicapé est encouragé.
Quelles sont les actions éducatives dans la pratique sportive des handicapés ?
Comme il concerne d’une activité sportive pour les personnes invalides, il existe effectivement des règles pédagogiques nécessaires à appliquer. La relation affective est une règle primordiale à tenir compte près des handicapés mentaux. La communication ainsi que le contact sont indispensables pour ces handicapés. Les gestes comme tenir la main et caresser les cheveux leur permettent d’éviter les doutes lors du lancement dans une activité. La seconde règle s’agit de la valorisation de soi. Celle-ci leur permet de déployer leur sentiment de compétence.
En général, une famille qui a un allié handicapé ne tient pas compte de son importance. Pourtant, le rôle des parents est essentiel. Les parents qui ont un enfant invalide doivent apporter un soutien et une capacité d’autonomie. Pendant la pratique du sport, il est important de connaître que leur seuil de fatigue est faible. La règle pédagogique est de ne pas alors faire un entrainement long. Et étant donné le cas, il faut apprendre aux invalides la façon de contrôler l’agressivité. Avec les divers types de handicaps, l’éducateur spécialisé doit donner à chacun un entraînement adapté à son handicap.