L’énergie est indispensable pour la fibre musculaire afin d’effectuer des efforts. Cela provient des aliments consommés, d’où vient l’utilité de bien manger équilibré, diversifié et varié. Cela permet d’augmenter le rendement musculaire, le progrès du sportif. Il est primordial pour un athlète de contrôler son énergie car cette énergie va directement influencer sa performance à effectuer des efforts. Il est très important donc de maintenir un niveau suffisant de glycogène hépatique et musculaire, et donc de consommer suffisamment de glucides.
Les acides gras sont les primordiaux substrats énergétiques lorsque le corps est au repos. Lorsque le corps débute un exercice, le glucide est utilisé en deux phases :
Pendant la pratique :
Et pour l’évolution de la glycémie :
Remarque : lors des efforts intenses et de très longue durée, il est possible d’avoir une diminution de sucre.
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En gros, la notion de performance est rattachée à trois paramètres principaux :
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Après, tout dépend de l’intensité et du temps mis pour faire l’effort :
Tout d’abord, c’est une question des besoins énergétiques qu’il faut combler au quotidien. En gros les besoins de base vitaux (respirer, digérer, uriner…) ainsi que les besoins en rapport avec le travail musculaire qui dépend du type et de la période d’activité.
Après, le second est d’améliorer les performances. C’est le fait d’établir un stockage optimal en glycogène musculaire et hépatique. De limiter la déplétion des stocks et de limiter les modifications de la glycémie, surtout le risque d’hypoglycémie sur les séances de longue durée.
Pour finir, le troisième objectif est de favoriser la récupération par l’intermédiaire du restockage ou réplétion.
La période d’entraînement
En général, les apports nutritionnels du sportif sont suffisants mais il peut y avoir un déséquilibre notable au niveau des macronutriments (lipides, glucides, protéines…) accompagnés bien sur des apports glucidiques à faible teneur et des apports lipidiques assez élevés. Ce phénomène est ce qu’on appelle une reconstitution insuffisante des réserves entraînant une non-optimisation des performances.
Voici donc les principaux conseils pour éviter cela :
Il y a trois types de sucres souvent utilisés autour de l’effort :
Au début de l’épreuve, les glucides permettent d’optimiser les stocks en glycogène et de garder l’état d’hydratation. Par contre, il faut limiter l’hyper insuline liée aux glucides à index glycémique (IG) élevé d’où le besoin de fructose et des apports fractionne. Par conséquent, il est recommandé de prendre une boisson composée de glucose + fructose (eau + miel par exemple) cela permet de conserver le stock en glycogène.
Cela dépend de la durée de l’épreuve, et permettra de faciliter l’hydratation, de limiter les fringales et de garder le stock mis en place en amont. C’est aussi valable pour les efforts de plus d’une heure, les boissons énergétiques sont recommandées pour l’hydratation et un apport complexe en fructose/glucose/maltodextrines. Plus l’effort dure, plus la prise de fructose diminue progressivement pour prévenir les troubles digestifs.
Quand le corps s’arrête d’être en mouvement, ou en phase de récupération les muscles subissent une réplétion précoce des stocks, cela dans les premières demi-heures, plus devient plus souple avec une perte en masse avec le temps.
Pour conclure, les sucres sont des nutriments indispensables pour un athlète durant la saison mais principalement aussi pendant l’effort. Leur apport permet d’atteindre les performances. Il ne faut pas également oublier de s’hydrater pour que les cellules puissent bien fonctionner. Et enfin, chaque tolérance est individuelle, donc il faut tenir compte de ce que le corps de chacun peut tolérer.
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