Le printemps est de retour et la période de Pâques, tant attendue par les gourmands est enfin arrivée ! Mais que faire de tous ces petits chocolats que vos enfants (ou vous) auront récoltés dans le jardin ? Et si ces derniers pouvaient être intégrés, dans une dose raisonnable, à vos préparations protéinées pour une petite touche de gourmandise bien appréciée. Dans cet article, on vous propose une petite recette de pancake protéiné de Pâques.
Pour réaliser un gros pancake
- 1 oeuf
- 1 dose de whey vanille ou peanut butter
- 30g de farine (de préférence complète)
- ⅓ sachet de levure
- 15cl de lait végétal (épeautre, coco, avoine, riz…)
- 1 càc d’huile de tournesol (pour la cuisson)
- Beurre de cacahuète (topping)
- 1 banane (topping)
- Oeufs de pâques ou Protiball (topping)
La préparation de votre pancake protéiné
Dans un saladier, fouetter un œuf puis ajouter la dose de whey ainsi que la farine et la levure.
Ajouter le lait végétal progressivement et mélanger jusqu’à obtenir une pâte à la texture homogène et onctueuse, sans grumeaux.
Votre pâte est prête !
Mettre une poêle à chauffer avec une cuillère à café d’huile de tournesol, à feu moyen. Lorsque la poêle est bien chaude, verser la préparation et laisser cuire quelques minutes, jusqu’à apercevoir des petits trous à la surface du pancake. Le retourner et laisser cuire encore 1 à 2 minutes selon l’épaisseur de celui-ci.
Le topping pour votre pancake protéiné de Pâques
C’est maintenant qu’on arrive à la partie intéressante, puisque l’on va enfin pouvoir utiliser les petits œufs en chocolat dont on raffole (presque) tous !
Tartiner le pancake avec un peu de beurre de cacahuètes sans sel et sucre ajoutés.
Couper une banane en rondelles et décorer le pancake avec.
Couper 5 à 6 petits œufs de pâques en deux, et les disposer sur les bananes.
Saupoudrer le tout d’un peu de noix de coco râpée ou de fruits secs de votre choix.
S’autoriser des aliments plaisir dans une diète, pourquoi est-ce important ?
S’autoriser des aliments plaisir dans une diète est essentiel pour le bien-être psychologique et l’équilibre alimentaire. En effet, la nutrition ne se limite pas uniquement à l’apport de protéines, glucides, lipides et autres nutriments. Une alimentation saine doit également inclure des éléments qui apportent du plaisir, comme les aliments sucrés ou gras, tout en étant conscient(e) des portions et de la qualité des produits consommés.
Notion de plaisir et d’équilibre
Manger des aliments plaisir en modération peut aider à maintenir un équilibre dans son régime alimentaire, sans créer de sentiments de privation. Cela nourrit la satiété et aide à réguler l’appétit, ce qui peut être crucial pour ceux qui cherchent à perdre du poids ou à éviter la prise de poids. Les calories provenant de ces aliments doivent être intégrées intelligemment dans le cadre d’une diète équilibrée, en tenant compte de notre métabolisme et des apports nutritionnels dont nous avons besoin
Éviter les troubles alimentaires
Permettre quelques écarts dans son alimentation aide à soutenir de bonnes habitudes alimentaires à long terme. En effet, des études montrent que des restrictions trop sévères mènent souvent à des comportements alimentaires déséquilibrés, tels que le grignotage excessif de produits transformés, des crises de frénésie alimentaire ou des TCA (troubles du comportement alimentaire). En consommant des aliments plaisir, comme une barre chocolatée, un gâteau sucré ou des frites, on évite de ressentir un manque qui pourrait inciter à une surconsommation de ces aliments moins sains. Il s’agit donc de trouver un équilibre et de savoir inclure ces aliments dans notre alimentation sans culpabilité.
C’est pourquoi, même en cas de diète ou de rééquilibrage alimentaire, il est possible de s’accorder quelques aliments plaisir, qui viendront se positionner comme aliments jokers.
Cela peut même être un acte diététique réfléchi, puisque cela permet d’enrichir son régime alimentaire, d’accepter que le bien-manger ne doit pas rimer avec privation, et de cultiver des habitudes alimentaires saines et durables.
Les aliments plaisir peuvent donc tout à fait trouver une place dans votre diète, en veillant aux portions et à la fréquence de consommation pour favoriser la perte de poids et le bien-être général.