Faire de la musculation ne s’agit pas uniquement de lever des barres ou de supporter des charges lourdes pour gonfler les muscles. C’est tout un art, dont il faut comprendre le mécanisme pour optimiser les résultats. Non seulement il faut apprendre le mécanisme de la discipline, mais il faut également connaître la physiologie de soi, afin de pouvoir déterminer des objectifs réalistes et les exercices idéals pour les réaliser.
Par définition, la prise de muscle consiste à travailler les muscles d’une manière très intense, et ce afin de gonfler la masse musculaire. Mais il n’est pas tout simplement de développer les muscles, il est également question de mental. Prendre du poids nécessite une détermination, beaucoup de détermination. Les muscles ne vont pas gonfler en une seule séance. D’ailleurs, tous les grands culturistes ont dû travailler dur pour avoir des résultats conséquents, séance après séance, mois après mois et année après année. Ce qui différencie un débutant des habitués ou des professionnels de la musculation, c’est leur détermination à atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés. Effort après effort, douleur après douleur, privation après privation, ces professionnels ont réussi à atteindre leur objectif malgré les obstacles qu’ils ont dû affronter. Pour un débutant, cette mentalité est encore à travailler, encore plus que les muscles. Nombreux sont les sportifs qui abandonnent à mi-chemin, par manque de motivation et de détermination. Un groupe de muscles qui prennent du temps à se développer, des régimes alimentaires drastiques, fatigue et épuisement…tels sont des épreuves à combattre dans cette discipline.
Par définition, la prise de muscle consiste à travailler les muscles d’une manière très intense, et ce afin de gonfler la masse musculaire. Mais il n’est pas tout simplement de développer les muscles, il est également question de mental. Prendre du poids nécessite une détermination, beaucoup de détermination. Les muscles ne vont pas gonfler en une seule séance. D’ailleurs, tous les grands culturistes ont dû travailler dur pour avoir des résultats conséquents, séance après séance, mois après mois et année après année. Ce qui différencie un débutant des habitués ou des professionnels de la musculation, c’est leur détermination à atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés. Effort après effort, douleur après douleur, privation après privation, ces professionnels ont réussi à atteindre leur objectif malgré les obstacles qu’ils ont dû affronter.
Pour un débutant, cette mentalité est encore à travailler, encore plus que les muscles. Nombreux sont les sportifs qui abandonnent à mi-chemin, par manque de motivation et de détermination. Un groupe de muscles qui prennent du temps à se développer, des régimes alimentaires drastiques, fatigue et épuisement…tels sont des épreuves à combattre dans cette discipline.
Se fixer une règle de vie propre à soi même
Le morphotype et les conditions physiques de chaque pratiquant n’est pas identique à ceux des autres. Si les endomorphes existent, nombreux sont également les ectomorphes et les mésomorphes. Chaque pratiquant a également sa force, son endurance et sa propre condition physique. Les exercices qui lui permettent de développer sa masse musculaire peuvent être différents de celui d’un autre pratiquant. Ainsi, pour mieux pratiquer la musculation, il faut se fixer non seulement un objectif, mais également un mode de vie et un type de programme musculaire propres à soi-même et à sa morphologie.
Petit à petit, l’oiseau fait son nid
En musculation, il ne faut pas se précipiter au risque de brûler les étapes. Aucun sportif n’a pu atteindre son objectif en si peu de temps, sinon la victoire ne sera pas aussi savoureuse. Il faut se donner le temps de bien assimiler la discipline, et donner le temps à l’organisme de s’habituer aux entraînements (amélioration des performances, de la vO2 etc) et de transformer la chair en masse musculaire.
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La thermo régulation est l’équilibre entre la création de la chaleur et son évacuation dans le corps humain. Si cet équilibre n’est pas respecté, un disfonctionnement du corps et des organes est provoqué. Plusieurs facteurs, internes et externes interviennent dans le bon fonctionnement de la thermo régulation.
En quoi consiste la thermo régulation ?
La thermo régulation est le résultat de l’équilibre entre les apports et la perte de chaleur dans le corps. Tous les mammifères sont touchés par ce phénomène, tout comme l’être humain. On dit alors qu’ils sont des êtres homéothermes. Chez l’homme, la température normale tourne autour des 36° ou 37° C.
Les facteurs internes qui agissent sur le thermo régulation
La progestérone est l’un des facteurs internes qui agissent sur la thermo régulation. Cette hormone intervient sur les centres hypothalamiques thermo régulateurs en augmentant automatiquement la chaleur du corps. Par exemple, durant la période d’ovulation, la température de la femme augmente de 0,5°C. Aussi, lors d’une pratique d’activité physique, la progestérone fait monter la température d’un individu. Cette montée de température se traduit par la sudation.
Chez les nourrissons et les personnes âgées, la température corporelle change constamment. Leur système nerveux central est immature, alors le système thermo régulateur manque d’efficacité.
Comment les échanges thermiques se déroulent-elles ?
Durant les saisons froides durant laquelle il y a une baisse de la température, le corps doit trouver un apport en chaleur pour assurer le bon fonctionnement des organes, en produisant lui-même de la chaleur. A cet effet, il produit de la chaleur par la contraction des muscles, c’est le principe de la thermogenèse. Les contractions musculaires se traduisent par le phénomène de frisson que nous ressentons quand on a froid.
Quand le corps ressent une température trop élevée, il va trouver un moyen pour l’évacuer pour que les organes ne soient pas endommagés. Il évacue l’excès de chaleur soit par la radiation, la conduction, l’évaporation ou encore la sudation. C’est le phénomène de la thermolyse.
Le microbiote intestinal est également appelé flore intestinale. C’est l’ensemble des micro- organismes qui peuplent l’intestin. Leur présence est primordiale pour garantir le bon fonctionnement des organes en général, et des intestins en particulier. De ce fait il est important de veiller sur leur bonne santé. On peut distinguer notamment le genre intestinal, épidermique, buccal, vaginal…
Pourquoi et comment conserver l’état du microbiote ?
Le microbiote joue un rôle direct sur la physiologie et le métabolisme de l’organisme. Il régule le transit intestinal en triant les aliments et en assurant leur assimilation. Il joue donc un rôle de facilitateur pour la digestion.
Le microbiote est transmis de la mère à l’enfant dès la naissance. En fonction du mode de vie d’une personne, il peut s’améliorer ou se détériorer avec le temps. Or, son instabilité peut provoquer des infections virales. C’est la raison pour laquelle il faut toujours garder un œil sur sa bonne santé pour ne pas infecter l’ensemble du mécanisme de l’organisme.
Pour conserver l’état du microbiote, il faut éviter de manger des aliments trop sucrés, trop salés ou trop gras. Les junkfoods ne sont pas des aliments à consommer régulièrement pour avoir un microbiote en bon état. Pizza, Chips, hamburgers, frites, plats préparés, le pain blanc, les viennoiseries…sont à consommer avec modération. Il faut préférer plutôt les nourritures naturelles telles que les fruits et les légumes, les oléagineux, graines germées fraiches. Le stress et la fatiguent déstabilisent également la flore intestinale. Très régulièrement, il faut prendre le temps de se reposer, dans un endroit bien tranquille et paisible. La pratique d’un exercice physique améliorer la santé de l’organisme en général, et le microbiote intestinal en particulier.
En général, c’est le système nerveux qui dicte les mouvements et les gestes que les organes et les membres doivent effectuer. Pour ce faire, il commande les nerfs en envoyant un message précis. Plus la personne concernée est concentrée sur le message envoyé par son cerveau, plus il pourra améliorer l’exécution des mouvements et gestes y afférents. Cette théorie est actuellement utilisée dans le domaine du sport en général, et de la musculation en particulier. Une bonne connexion entre le cerveau et les muscles permet de développer correctement et intelligemment les muscles. On parle alors de connexion neuromusculaire.
En quoi consiste une connexion neuromusculaire ?
La connexion neuromusculaire est une attention interne, dont le but est de diriger la concentration du sportif vers un groupe de muscles bien déterminés. Durant une séance d’entraînement, il se focalise sur ce qui se passe à l’intérieur de son corps (contraction d’un muscle, la respiration, la sudation ou la transpiration…). Aussi, il doit avoir conscience de son environnement extérieur, en visualisant par exemple les poids qu’il doit soulever, de la barre ou de l’haltère, des tapis de course. Ceci afin d’améliorer sa concentration pour mieux exécuter les mouvements liés à l’entraînement.
Quels sont les avantages de la connexion neuromusculaire ?
La connexion neuromusculaire ont des bienfaits sur le développement musculaire. Elle est la source d’une prise de masse plus importante. Elle améliore également la performance et la concentration du sportif.
Quand le cerveau et les muscles sont en bonne connexion, les mouvements et les gestes sont mieux exécutés. Il est donc plus facile d’éviter les accidents musculaires et articulaires.
Comment le cerveau se muscle-t-il ?
Les activités physiques intenses, telle que la musculation, nécessitent une adaptation du cerveau pour que le sportif puisse y parvenir. Muscler son système nerveux implique alors travailler le cerveau à s’adapter à la musculation. Pour ce faire, le sportif doit répéter les mouvements plusieurs fois. C’est d’ailleurs ce qui différencie les professionnels des débutants.