Certes, les activités physiques doivent être toujours accompagnées d’une bonne alimentation sportifs afin d’assurer le bien être physique. Cette recommandation est largement vulgarisée et mise en pratique par les accros au sport. Cependant, l’importance d’un bon fonctionnement du système hormonal mérite encore d’être développé car les hormones contribuent dans la réussite ou l’échec des entrainements
Sans hormones, le corps ne peut pas fonctionner normalement. En quelque sorte, les hormones participent aussi bien dans la commande de nos organismes, du métabolisme (et donc sur la prise de masse et perte de poids) jusqu’à l’activité sexuelle.
En principe, le système nerveux est le centre de toutes commandes mais les hormones l’accompagnent en tant que porteur de ces dernières pour les organes destinataires de notre corps. Pour que le corps passe à l’action, les glandes secrètent des hormones pour être transportées par le sang et aboutir dans les cellules destinatrices des messages. En effet ces hormones stimulent la contraction des muscles ou la réaction de l’organisme.
C’est pour cela que les pratiquants du sport doivent connaitre les rôles des hormones qui conditionnent leurs activités physiques.
Les cinquantaines hormones de notre organisme sont fabriquées par les cellules endocrines qui proviennent respectivement des glandes endocrines et des organes de notre corps. Le système endocrinien est composé de différentes glandes qui ont chacune leurs spécificités.
Une dizaine de glandes est affilée avec le système endocrinien.
A la base du cerveau se trouve une glande motrice qui est l’hypophyse. Cette glande secrète des hormones importantes qui permettent aux autres glandes de l’organisme de produire à leur tour diverses hormones ayant leurs rôles respectives.
Sous le larynx se trouve la thyroïde. Des autres glandes endocrines se localisent dans sa surface dorsale. En outre, quatre glandes parathyroïdes sont également situées sur la thyroïde.
Les reins sont aussi des organes vitaux producteurs d’hormones car au bout des deux reins existent les glandes surrénales. Ces dernières se nomment la glande médullo surrénale et la glande cortiosurrénale.
Nombreux organes de notre corps sont propulseurs d’hormones qui sont toutes indispensables au bon fonctionnement de notre organisme à compter par le pancréas, le cœur, les ovaires ou les testicules et les intestins.
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Nous avons précisé que les hormones sont les vecteurs de commandes de notre organisme. Elles fournissent alors des informations indispensables transmises par les différentes glandes sécrétrices. Les réactions extérieures reflètent la présence ou la carence en hormones selon les cas. Notamment, la régulation de la température corporelle, la régulation de la faim ou de la soif représentent une des fonctions des hormones.
Le processus de sécrétion des hormones venant des autres organes autres que le cerveau est ordonné par l’hypothalamus qui interagit avec l’hypophyse en libérant les hormones de commandes.
Les hormones sont variées en fonction de leurs producteurs qui transmettent différentes messages à l’organisme. Notamment, les interactions de chaque hormone à l’organisme ne sont pas toutes semblables, il y a celle qui provoque des effets immédiats avec une courte durée et celle qui incite à des réactions plus prolongées.
Il est à noter que les actions attendues par les hormones sont très précises et ciblées. Après que les cellules endocrines les sécrètent, le système sanguin se charge de les transporter vers les cellules cibles qui sont les récepteurs chimiques. Ces dernières ont pour rôle d’interpréter les messages transmis.
Les hormones transportées sont spécifiquement l’hormone stéroïde et l’hormone protéique qui sont toutes deux très complémentaires. L’hormone stéroïde traverse la cellule cible et l’hormone protéique fixée sur la membrane de cette cellule cible aide dans le processus de réception de message.
Il existe une multitudes d’hormones : endorphine, la leptine, etc
Vu que les hormones de commandes proviennent des glandes endocrines du système nerveux, la sécrétion des hormones sont à la demande du corps ou de l’organisme. En effet, il est indispensable pour un sportif d’appréhender les caractéristiques des différents hormones afin qu’ils puissent équilibrer, choisir ou limiter ses activités physiques en fonction de la capacité et du bien être du corps.
En général, tout effort physique entraine une perte en eau et en sodium. Mais, ce déficit dépend de l’intensité et de la durée de l’exercice ainsi que l’état physique de la personne. En principe, ces pertes stimulent la sécrétion d’aldostérone et de l’hormone antidiurétique qui favorisent la rétention de l’eau et du sodium.
Au début de l’entrainement physique, c’est les hormones thyroïdiennes et les hormones parathyroïdiennes qui sont stimulées. L’augmentation de ces substances entraine le métabolisme basal qui fait suite au trouble de sommeil et persistance de la fatigue. En effet, la fréquence et le prolongation de l’entrainement ne peut qu’augmenter la concentration de ces hormones qui ne diminuent qu’après plusieurs jours. En effet, le control de la variation de ces hormones dépend des exercices physiques modérés.
Tout au long de l’entrainement, l’adrénaline et la noradrénaline seront progressivement et continuellement en sécrétion. L’élévation de la concentration de ces dernières fournit des avantages au système cardio vasculaire car elles permettent de libérer de l’énergie.
La durée et l’intensité de l’entrainement définissent la concentration du taux d’hormones sexuelles qui sont l’androgène et l’œstrogène. De plus la testostérone sera également stimulée et favorise l’anabolisme protéique. Cela est avantageux pour les adeptes de la musculation car elle aide à raffermir les muscles.
Le maintient des hormones de croissance est interdépendant avec l’intensité de l’effort physique. Le taux d’hormone pourra accroître jusqu’à 35 fois de la normale suivant la persévérance dans l’entrainement. Cette croissance est aussi reflétée par la prise de masse musculaire.
L’hormone qui a une concentration très variante au cours de l’entrainement est le cortisol. Il est sécrété par les glandes surrénales, sa forte concentration amène un effet néoglucogénique qui permet à l’organisme de procurer d’autre énergie que dans le glucose.
Durant l’entrainement, il y a aussi la variation de l’insuline et le glucagon. Notamment la concentration des ces hormones se substitue c’est-à-dire si l’insuline augmente, le glucagon diminue et vise versa. Comme spécificité, le glucagon libère les acides gras dans les tissus gras et dans le foie contrairement à l’insuline.
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